Le smartphone serait resté dans un rayon “extrêmement proche de chez soi”.
La Dépêche rapporte que selon ces expertises, l’engin aurait été localisé le soir de la disparition « dans un rayon extrêmement proche de la maison Jubular, à Cagnac, voire dans une zone comprise au cœur de l’ensemble résidentiel de rue Yves-Motand».
A lire aussi : Disparition de Delphine Jubular : son mari, Cédric, sera de nouveau entendu en septembre BFMTV, qui révèle également ces experts, indique que ce nouvel élément est « intéressant » : Cédric Jubular a toujours répété aux enquêteurs que sa femme était partie cette nuit-là, emportant son smartphone. Toutefois, La Dépêche souligne que cette technique d’investigation “reste très rare en matière pénale car jugée insuffisamment fiable” : “Elle dépend notamment des conditions météorologiques et peut être perturbée par des phénomènes de délestage entre les différentes bornes relais”. La BFM indique également que les chercheurs répondent aux critères de ces résultats : “L’architecture du réseau aujourd’hui n’est plus la même qu’en 2020”, sur la disparition de Delphine Jubular.
Qui a déverrouillé le téléphone ?
Autre conclusion de ces nouvelles expertises : le téléphone de l’infirmier n’a jamais été hors couverture réseau entre 22h26 et 22h26. et 7h48, quand il a fermé définitivement. De précédentes analyses avaient montré que le téléphone aurait sonné six fois dans la nuit, entre 0h09 et 06h52, alors que des gendarmes étaient présents au domicile du couple avec Cédric Jubillard. A-t-il déverrouillé le smartphone de sa femme ? Ses avocats démentent cette affaire : « A 6h52 du matin, Cédric Jubillar était en présence des gendarmes, il ne peut donc pas, à ce moment-là, faire fonctionner le téléphone de sa femme. Il n’a pas les codes pour l’activer”, ont déclaré Maître Martin, Franck et Alary, selon La Dépêche. En décembre 2020, à quelques jours de Noël, la France s’était émue de la disparition de Delphine Jubular, survenue quelques semaines après la condamnation de Jonathann Daval pour le meurtre de sa femme, qu’il avait longtemps nié, jouant le rôle de la pleureuse. . mari. Puis les regards accusateurs, notamment de l’entourage de cette infirmière de 33 ans au moment de sa disparition, se sont rapidement posés sur le mari, à qui l’on reprochait d’avoir consommé du cannabis et d’avoir tardé à terminer la maison dans laquelle vivait la famille Jubular. Il sera de nouveau entendu par la justice le vendredi 23 septembre. chevron_gauchechevron_droite